quête

Publié le par salima el esfar


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                                                                             Quête

Chaque jour je me souviens de mes  jours anciens,  mes rêves, mon espoir, mes horizons, tous  s’éloignent au saint d’un  mirage existant dans mon cœur dépouillé. Je l’ai imploré de me préserver,  me renforcer,  me retenir, m’ enlève de cette labyrinthe.il  n’ ose  de me dresser son coup d’épaule de  m’indiquer la voie la plus pérenne, la plus tangible .il m’a fait allusion d’attendre ; c’est le  seul remède dans  mon cas : Attendre ;  Attendre quoi,  qui,  quand,  ou bien comment ?????  Puis il m’a quitté me jeter au temps mort, placide, inerte, sans pousser aucun cri. En tant qu’ un voyageur , étranger, en tout  le temps et dans tous les coins, son grand malheur quand ressentir tout le poids d’une solitude étouffante, d’une peur austère, d’un silence funeste et d’une volonté  paralysée…un voyageur appartient à un monde non identique, non propre,  hostile. refuser de le lire et choisir soi même, en quête des vrais sens de tout de rien de n’importe…veut s’ évader dans tous les sens et en toutes les directions et dimensions de l’univers, parcourir tous les endroits, cachés ou découvert, sentir tous les parfums exotiques ou ordinaires ,comprendre tous les mots, pénétrer la virginité saine des paysages grandioses…qui ne se voient  pas toujours, mon âme se mêle avec l’air pure d’une fumé exotique, suave câline mes narines, mes yeux versent ses larmes véloces chaudes, ma bouche dessine un large sourire, c’est sa fumé, il est là !!! Une symphonie orageuse, déclare le début de la scène en donnant l’alarme  au  vent de m’emporter deçà delà pareille à une feuille morte, mes cheveux, ma jupe longue, et ma patience courte, dansent dans un rythme agité, absurde…je cours n’importe où pareille à un cheval fou, je veux l’attraper, le toucher, le sentir… c’est une grande partie de moi, je regrette mon ardent souhait de le retenir contre mes bras, en plein chaud loin du froid, mon être disparaît dans la clarté du ciel, les rayons du soleil m’empêchent de le suivre, la sueur coule sur tout mon corps anéanti, mon cœur palpite encore fort, je me plonge dans l’abîme de la jungle, sur le sol humide, même en plein sommeil n’y a plus d’haleine, les pensées ne cessent de me glacer torture…j’essaie de me réveiller, deux forces en moi controversent, l’une veut l’autre non. Elle n’a pas d’autre effort pour supporter d’autres souffrances, ne veut pas chercher d’autre place qui mesure peut être à sa place. L’autre veut continuer sa quête peut être trouvé un jour la lueur…pire eau que l’eau qui dort…l’abeille répète dans mes oreilles. Quelqu’un me tend sa main je ne sais qui mais c’est la seule, le compte à rebours brûle mon fond plus rapide et plus profond…j’ai choisis la quête continuelle, plus seule et perpétuelle, qu’Attendre un jour vauriens peut porter une lueur. Je cesserais d’être la bougie qui se brûle et s’épuise pour lui plaire, et l’éclaircir. Il a oublié que la lune n’a pas de lumière, il est sombre et froide, c’est le soleil qui la clarifier et la réchauffer. Pourquoi il a loué les petites étoiles passagères et se moque de sa fontaine…

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